Parceque le Jin, c'est pas que de l'alcool.

par **Jin-** Mar 20 Aoû - 17:04

Le Temps nous emmènent dans une très lointaine contrée, dans ces iles reculées, et isolées par le grand cataclysme :
La Pandalousie.
Anciennement nommée "Pandala" Par les sages de l'ère des Dofus, cette terre ne fut retrouvée par les cartographes de la faction d'Otomaï il n'y a que quelques dizaines d'années.
Et c'est la-bas, que commence cette histoire.
Jin (Car c'est comme cela qu'il se fait nommé) est né entre 952 et 955 de notre ère, lui faisant actuellement, une petit vingtaine d'années.
Fils de Muken et de Fuu, couple de Pandawas reconnus et appréciés de tous.
A 3ans, il fit la fierté de ses parents en réalisant l'exploit de vider seul un fût de bière frelatée, volé â la crèche du village lors d'une évasion. (Soit disant avait-il rongé sa cage en Bambou)
Il vécut une enfance difficile, entre les montagnes de parchemins que son père lui faisait apprendre par coeur ("Pour réussir dans la vie, il faut être instruit !" Lui disait-il Toujours) Et les heures passées en cuisine ou sa tendre Mère lui apprenait (De forçe, admettons-le) Les rudiments de la cuisine traditionnelle Pandawa.

A forçe de lectures intensives et de recherches, Jin se trouva vite une passion pour la bière de bambou noir, pour l'écriture et pour la poésie, c'est ainsi qu'il entreprit de lire tous les parchemins de Pandalousie, de l'en-tête, à la signature.
Et un jour qu'il cuvait tranquillement au dessus d'un vieux livre jaunit par les années, il lu quelque chose, qui changea à jamais sa vie :
Souvenir de Zatoishwan, douxième du nom.
[Il existe au loin, Bien plus loin que les grandes rives Pandalousiennes, par delà les terres oubliées, proche des continents, une ile, une minuscule ile dont la forme, rappelle celle d'une feuille de bambou frelatée. Sur cette ile ou moi et mes fiers guerriers Pandawas avont accostés, nous avont trouvés un batiment, à l'intérieur, une femme, D'une raçe dont je ne saurais dire le nom.
Elle nous a acceuilli avec grande joie, et après de nombreux récits contés, elle nous fit entrés dans une grande salle, ou d'étranges personnages à la tête rasée et aux regards mornes, nous observaits, tout en psalmodiants d'étranges paroles, au creux de croix en bois, suspendues a leurs cous.
Elle nous fits nous assoirs à même le sol, puis soudain, elle fit venir, d'un claquement de doigt à faire vibrer un bambou centenaire, un fût.
De celui-ci, elle nous servis à chacun un bol d'un étrange liquide opaque et inodore.
Nous n'aurions pu imaginés le contenu de ce fût. Un breuvage qui n'aurait pu être autre que les larmes mêmes de notre déesse, un alcool comme jamais je n'en ai bu, ou la bière Pandalousienne, parraissait pisse de Kitsou en comparaison.
Cette boisson nous fit un tel effet, que nous ne ressentions plus aucune soif, plus aucune envie de s'ennivrer, plus rien.

Malheuresement, mes chers confrères ne trouverent pas cela tout à fait normal, et, de peur que cette femme leurs ai jeté un sort, il lui sautèrent dessus et l'égorgèrent, sans même que je put le voir venir.
Quand enfin je pu m'agenouillé, en pleurs devant cette étrangère, et que je lui demanda son nom, pour me faire pardonné de l'outrage de mes hommes (Que j'ai tous massacrés après cet accident) et lui offrir une sépulture digne des grands Empereurs, elle ne me sussurra qu'un mot : "Nonne"
Ses yeux définitivements fermés, je laissa son corps à terre pour aller chercher une pelle à notre navire, mais alors que je m'apprétais à quitter la pièce, je ressenti comme un froid, pas un froid ordinaire, un frois glacial, à vous figé la fourrure sur le dos. Je voulu regarder le cadavre abandonner là, mais le spectacle qui s'offrais à moi me cloua sur plaçe, une silouhette blanchâtre, s'évacuait doucement du corps de la jeune femme, pour finalement prendre une apparençe monstrueuse, d'une femme tuée par le temps et par la colère.
Sans attendre, je pris mes jambes à mon cou, mais lorsque je m'apprétait à refermé dévinitiement les portes de l'énorme batiment, mes yeux se posèrent sur une pile de ces fameux fûts plein d'alcool...
Quel dommage que je ne puit en emporter ne serait-ce qu'un, toute la Pandalousie aurait pû découvrir ce breuvage merveilleux, et peut-être même, le reproduire.
Sans attendre, je rejoignis mon navire et pris le large, et c'est à ce moment, que je vis une Inscription géante, gravée sur la Facade principale : 
Ainsi s'achève ce récit, ainsi que ma vie, car je ne peut plus désormais, repenser aux atroçitée commises aux cours de ce périple, chaque nuit est un supplice, ou je revoit inlassablement ce visage monstrueux, qui semble m'attendre.]
Jin n'en revenait pas.
A l'aide des connaissances qu'il avaits acquises, il pu sans mal déchiffrer cette série de Glyphes, ces derniers étaits écrit en vieux iop, écriture datant de l'ère des Dofus.
"Sliptorium"
Jamais son esprit ennivré n'avait tant réfléchi. (Jamais il n'avait eu â réfléchir en fait.)
Le soir même, Jin embarqua dans un navire -Emprunté a long terme- Pour le vieux continent.
Le voyage dura 96 jours d'après Jin, en réalité il ne lui fallut que 11 jours pour arriver en Amakna, mais la moitié du temps fut pour lui un véritable supplice, dût au manque d'alcool â bord.
La-bas, il se mis en quête de trouver cette ile nommée Sliptorium, et appris par un vieux fou de la Taverne (Ou voulez vous qu'il sois allé d'autre ?) Que le Sliptorium, est une contrée des mers du Nord, accessible seulement aux aventuriers les plus téméraires et expérimentés.
De l'expérience, Jin n'en avais pas, il ne possédait que 52 fûts de bières, volés a un marchand ivre, et son attirail de cuisinier, le tout caché au fond d'un havre sac décrépi trouvé au fond d'une poubelle.
Il décida donc de rejoindre une guilde de combattants, pour devenir plus fort et partir térasser cette créature, vestige de Zatoishwan XII.
Et il tomba,
De Fatigue, de manque d'alcool et de nourriture.
Et il ferma les yeux.
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Voila voila, j'aime bien écrire des Pavés Rp, ça forge le clavier.
Irl:
Jules, 19 ans, Bosse dans l'artisanat alimentaire (Chocolaterie)
Ig:
Jin, Panda eau, lvl 92 a l'heure ou j’écris ces mots.